La biorésonance et les mauvaises herbes
Les mauvaises herbes signaux de carences, ou l’effet Kervran dans la nature
Ce processus d’équilibre fonctionnerait par l’apport des éléments chimiques de la plante sous la forme d’humus. Cette restitution à la terre étant trop longue (une année), on peut alors la remplacer immédiatement par une formule très rapprochée de celle de la plante et cela donne d’étonnants résultats : mauvaises herbe qui repousse plus après le désherbage et rendement considérablement augmenté pour la culture suivante qui est exempte de maladies et de parasites.
L’apparition des liserons : particulièrement difficiles à faire disparaître. L’analyse chimique du liseron permet de découvrir une énorme teneur en bore, donc une carence du terrain en bore. Le liseron synthétiserait le bore à partir d’autres éléments encore en abondance dans le terrain et l’apporterait en fumure à ce même terrain une fois composté.
Il suffira pour s’en débarrasser de procéder à un arrosage ou à un épandage sur le terrain, après l’avoir labouré ou désherbé grossièrement, d’une solution d’acide borique.
Il semble donc que l’envahissement progressif des cultures par des parasites,maladies, etc., malgré (ou à cause) la lutte chimique, est bien dû à des carences métalliques. La lutte par les toxiques est vouée à l’échec, on tue, encore et encore, mais on ne rééquilibre rien.
Les méthodes de biorésonance (ou information de la matière) appliquée en agriculture et la biodynamie, utilisent, elles, ces connaissances pour une meilleure gestion de la nature et une aide à une agriculture durable, efficace et rentable.