La biorésonance et la prostatite

La biorésonance et la prostatite

La biorésonance et la prostatite

Les urologues font souvent référence à la glande prostatique (prostate) comme au « deuxième cœur » de l’homme. En effet, le rôle de ce petit organe situé près de la vessie urinaire, pour assurer une fonction reproductive masculine normale.
La prostatite est l’inflammation de la glande prostatique. Elle s’accompagne de nombreux symptômes. Le plus désagréable d’entre eux, peut-être – une diminution de la puissance et des troubles de la miction – le patient ressent constamment l’envie, mais ne peut normalement pas uriner, parce que l’inflammation et l’hypertrophie de la prostate pressent l’urètre. Et avec le temps, l’infertilité peut se développer.
Le problème est très urgent dans le monde moderne : la prostatite occupe avec assurance la première place parmi toutes les maladies inflammatoires du système génito-urinaire chez l’homme.
Un traitement efficace de la prostatite – ce n’est pas seulement se débarrasser des symptômes désagréables, améliorer la qualité de vie et prévenir l’adénome de la prostate. C’est aussi l’occasion de se sentir un homme complet.

La biorésonance et la prostatite :

Pourquoi une inflammation de la prostate se développe-t-elle ?

La principale cause de la prostatite est l’infection. Les bactéries peuvent pénétrer dans la prostate depuis l’urètre, avec la circulation du sang, de la lymphe.
De nombreux facteurs contribuent à l’apparition d’une prostatite :
– traumatisme pelvien et génital ;
– Hypothermie fréquente ;
– une vie sexuelle irrégulière ;
– affaiblissement de l’immunité et des mécanismes de défense locaux de la prostate ;
– Production insuffisante d’hormones sexuelles mâles dans l’organisme.

Que se passe-t-il dans la glande prostatique pendant la maladie ?

Une inflammation se développe dans la prostate. Le flux sanguin est perturbé. La glande gonfle, augmente de taille et comprime l’urètre. Si la maladie se prolonge, la prostate s’épaissit, diminue de taille, l’infertilité se développe.
L’homme est perturbé par cette douleur dans l’abdomen, dans la zone génitale, dans le rectum. L’urination devient fréquente. Le patient a constamment l’impression que sa vessie est pleine et qu’il doit faire pipi. Mais une petite quantité d’urine est excrétée, la miction est difficile en raison de la constriction de l’urètre.
En cas de prostatite aiguë, causée par une bactérie, on observe les signes d’une maladie infectieuse : la température corporelle augmente, le bien-être se détériore.

Comment traite-t-on la prostatite ?

Il est prouvé que dans la plupart des cas, la cause du développement de la prostatite est une infection. Cependant, l’agent causal ne peut pas toujours être identifié. La principale méthode de traitement des différentes formes de prostatite est l’antibiothérapie. Par ailleurs, les médicaments utilisés pour combattre les symptômes : analgésiques, anti-inflammatoires, antipyrétiques, etc.
Le traitement de la maladie n’est pas toujours rapide et facile. Un effet plus prononcé peut être obtenu si, parallèlement à la thérapie médicamenteuse, on applique d’autres techniques modernes, par exemple, pour combattre la maladie en rééquilibrant la prostatite par biorésonance.

Quels sont les effets du rééquilibrage de la prostatite par biorésonance ?

La biorésonance est l’effet sur le champ électromagnétique du tissu de la glande prostatique. En agissant sur les ondes émises par les cellules pendant leur fonctionnement, il est possible d’influencer leur fonction et leur structure.
La biorésonance permet à la personne de s’auto-rééquilibrer, il est ensuite possible d’obtenir les effets positifs suivants  :

– Suppression du processus inflammatoire.
– Élimination de la douleur.
– Améliorer le système immunitaire et les mécanismes de défense locaux de la prostate.
– Amélioration du flux sanguin dans la prostate.
– Réduire le gonflement de la glande.
– Normalisation de la fonction.

Séances de biorésonance : https://www.latherapiedufutur.com

traduction depuis : http://www.biomedis.ru/

N’écartez pas l’avis de votre médecin traitant. Les méthodes proposées sont complémentaires avec un traitement en cours. Seul votre médecin peut établir un diagnostic et modifier vos traitements.

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