La biorésonance et la maladie de parkinson
Causes
La maladie de Parkinson est due à la destruction des cellules qui produisent le neurotransmetteur dopamine. Certaines personnes peuvent être plus susceptibles de développer cette maladie en raison de leur génétique, car elle peut parfois être héréditaire. Les dommages au cerveau se produisent lorsqu’une personne est victime d’un accident vasculaire cérébral ou d’une autre maladie affectant le cerveau. L’exposition à des toxines particulières, notamment l’édulcorant artificiel aspartame et les pesticides tels que la roténone, a été associée à un risque accru de développer la maladie de Parkinson. Un traumatisme antérieur grave à la tête ou au cou peut également être un facteur contributif. Certains types de médicaments, tels que les antipsychotiques et les opiacés, altèrent la production d’hormones neurotransmettrices, dont la dopamine. Un manque de folate alimentaire peut entraîner une augmentation des niveaux d’homocystéine, un acide aminé. En raison de ces niveaux plus élevés, les neurones du cerveau deviennent plus susceptibles de dysfonctionnement et de maladie. Les patients peuvent également être affectés par des infestations fongiques ou un déséquilibre microbien dans l’intestin. Une carence chronique en vitamine D peut également être en partie responsable.
Symptômes
En général, les personnes de plus de 50 ans sont les plus susceptibles d’être touchées et les symptômes se développent progressivement au fil du temps. Les membres tremblent, les muscles deviennent rigides, les nerfs peuvent être douloureux et le mouvement est plus lent. Les patients peuvent souffrir d’insomnie et avoir besoin d’uriner pendant la nuit. Certaines personnes perdent même leur odorat. La malnutrition peut survenir si la personne a des difficultés à manger et à avaler et elle peut également être constipée. Les symptômes psychiatriques peuvent comprendre la dépression, des difficultés à se souvenir de certaines choses et des signes de démence.
Suppléments à prendre
Vitamine D, vitamine C, lécithine, magnésium, coenzyme Q10, vitamine E, astaxanthine, resvératrol, iode
Autres thérapies
Les médicaments utilisés pour traiter la maladie de Parkinson comprennent la lévodopa et la sélégiline, qui aident à contrecarrer le déficit de dopamine dans le cerveau, favorisant ainsi la mobilité. La physiothérapie peut également aider le patient à rester relativement mobile et à réduire les symptômes tels que la douleur et la raideur. Des ajustements peuvent être effectués à la maison pour faciliter la vie quotidienne et aider à maintenir autant d’indépendance que possible. Dans certains cas, on peut même avoir recours à la chirurgie du cerveau. Idéalement, le patient devrait suivre un régime alimentaire principalement végétal, qui intègre des graisses bénéfiques, comme l’huile de noix de coco, mais qui exclut les aliments hautement transformés, le blé et les sucres raffinés. Les fibres alimentaires peuvent aider à soulager la constipation. Si possible, les produits d’entretien, les cosmétiques, etc. doivent être remplacés par des alternatives ne contenant pas de substances potentiellement nocives. Il faut faire régulièrement de l’exercice physique vigoureux et il est également essentiel d’essayer de se reposer suffisamment en ayant une bonne structure de sommeil. Il est essentiel de boire beaucoup d’eau.
Expériences et études de cas
Un patient de 63 ans, dont l’état se détériorait depuis des années en raison de la maladie de Parkinson, souffrait également de maniaco-dépression. Après avoir reçu 3 séances de biorésonance, le tremblement était à peine perceptible et le patient était beaucoup plus stable psychologiquement.
Séances de biorésonance : http://www.latherapiedufutur.com
traduction depuis : https://bioresonance.com/
N’écartez pas l’avis de votre médecin traitant. Les méthodes proposées sont complémentaires avec un traitement en cours. Seul votre médecin peut établir un diagnostic et modifier vos traitements.